Le 50 000e piano à queue de notre manufacture viennoise se distingue par le raffinement de ses lignes. Fabriqué à l’occasion du 185e anniversaire de la manufacture, il allie le son Bösendorfer à l’esthétique de la Vienne néoclassique.

Ce piano est un hommage aux jardins des palais impériaux et à leurs papillons. L’exceptionnel travail de marqueterie qui recouvre l’intérieur du couvercle est réalisé avec des feuilles de bois teinté pour créer des jeux d’ombre et apporter de la profondeur. Les teintes choisies sont aussi joyeuses et légères qu’une nuée de papillons.

Butterfly — le jardin impérial est une série limitée de 9 instruments, réalisables sur les modèles 200 ou 214VC Vienna Concert. Chaque piano porte une plaque en laiton numérotée. 

Les décors de marqueterie aux motifs animaliers et floraux ont toujours été un symbole de magnificence et de luxe, comme en témoigne le grand nombre de pianos et de meubles anciens incrustés d’essences nobles. 

Le couple impérial François Ier du Saint-Empire et Marie-Thérèse collectionnait les plantes rares pour orner leurs jardins et leurs serres. L’impératrice fit du château de Schönbrunn une résidence d’été et le point de mire de la cour, où étaient invités hommes politiques de premier plan et personnalités du monde des arts et de la culture. 

Ludwig van Beethoven (1770-1827), né à Bonn, a 17 ans lorsqu'il se rend à Vienne pour la première fois, afin d’y étudier auprès de Mozart. À peine arrivé, il doit immédiatement rentrer chez lui, sa mère étant tombée malade. Il y retourne plus tard, en 1792, après la mort de Mozart. Il commence alors à étudier auprès de Joseph Haydn.

Lors d’un concert à Vienne, en 1970, Oscar Peterson aperçoit pour la première fois le légendaire piano Impérial Bösendorfer. Il se tourne vers Norman Granz, son impresario et s’exclame : 
« Bon sang, Norman, d’où vient cette merveille ? Il me faut la même ! » 

Le piano Bohème est le fruit d’une collaboration entre Bösendorfer, l’artiste de renommée internationale Franco Castelluccio et l’entrepreneur Richard Kessler, propriétaire des boutiques-hôtels Grand Bohemian et collectionneur d’art passionné.

Le second modèle de la série Klimt est dédié au portrait d’Adèle Bloch-Bauer, commandé à Gustav Klimt en 1903 par l’époux d’Adèle, Ferdinand Bloch-Bauer, riche entrepreneur et grand amateur d’art. Klimt accepte et la même année, se rend en Italie, où il est fasciné par les mosaïques byzantines de Ravenne incrustées de matériaux précieux comme la nacre et l’or. Il cherche à transposer ces mosaïques dans une forme contemporaine.

Pièces d’exception